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mardi 1 avril 2014

Echelle à coulisse à deux plans


Les échelles à coulisse deux plans servent à faire des attaques de feu ou des sauvetages aux premiers et deuxième étage et à atteindre des toitures peu élevés.

Description

Le deuxième plan est un peu plus étroit que le premier montant munis de bande glissement, portant à leur base des guides qui glissent dans des coulisses pratiquées dans les montants du premier plan. Le premier plan porte à son sommet des guides de plan avec galets, l'échelle est développée au moyen d'une corde reliée à la partie inférieure du deuxième plan et passant dans la poulie fixée à la partie supérieure du premier plan et dans la poulie de la barre d'accouplement des parachutes. Ces derniers peuvent être amenés sous un des échelons du deuxième plan. Ils maintiennent l'échelle déployée.

Nomenclature

Les montants avec leurs guides ou coulisses, leurs bandes de glissement ou leurs guides de plans avec galets, les échelons, les sabots, les griffes, la cordes à poulie, les parachutes avec leur poulie.


Caractéristiques (échelles à coulisse dites "grand modèle") :

- hauteur de l'échelle déployée : 8, 20 m ;
- hauteur de l'échelle reployée : 4,50 m ;
- poids de l'échelle : 37,500 kg (modèle en bois) ;
- largeur de l'échelle : 0,45 m ;
- nombre d'échelons par plan : 15.

L'échelle développée et appuyée peut supporter deux hommes sur le deuxième plan. L'échelle ne peut être employée horizontalement que non développée ; elle peut alors supporter deux hommes.

Dans le cas ou l'on aurait besoin de deux échelles simple, on pourrait dédoubler l'échelle à coulisse.

mardi 25 mars 2014

Crises d'épilepsie


Déroulement de la crise

. le malade pousse un cri et tombe ;
. son  corps se raidit pendant quelques secondes ;
. puis apparaissent des convulsions ;
. Enfin, épuisé, il s'endort profondément ;
. Au cours de la crise, il se mord la langue et perd ses urines.

Que faire ?



- Appeler un médecin ou les secours organisés ;
- Éloigner l'entourage, les badauds ;
- Laisser faire, sans contrarier le malade ;
- Desserrez  ceinture et cravate ;
- Essayer d'amortir les chocs et de l'empêcher
  • de se blesser ou de mordre la langue.

mardi 4 mars 2014

Les Echarpes




Elle est utilisée pour l'immobilisation d'une lésion du poignet ou de l'avant-bras. Elle assure le soutien du membre blessé en immobilisant les articulations du poignet et du coude.

La pose de cette écharpe s'effectue de la façon suivante :

- engager une des pointes du triangle entre le coude et le thorax et la faire passer sur l'épaule du côté blessé,
   il faut que le sommet du triangle se trouve du côté du coude et que la base soit perpendiculaire à l'avant-
   bras à immobiliser ;

- ajuster et déplisser le triangle jusqu'à la base des doigts ;

- rabattre la seconde pointe sur le côté du cou et vérifier la bonne position de la main qui doit toujours             être placée légèrement au dessus au niveau du coude en torsadant la partie libre (queue de cochon) ou           la fixant avec une épingle.

   

Écharpe droite et contre-écharpe

Dans le cas d'une fracture du bras, il faut empêcher l'épaule de bouger. La seule manière de le faire en préhospitalier est la pose d'une contre-écharpe. Une écharpe droite est d'abord posée comme indiqué ci-dessus, afin que le poids de l'avant-bras soit supporté par les épaules et non par le bras blessé. Puis :
  1. un secouriste se place du côté du bras sain et place la base horizontalement en haut du bras lésé, la pointe pendant vers le bas au niveau du coude ;
  2. il enveloppe la poitrine et fait passer la contre-écharpe sous l'aisselle du bras sain ; il noue les chefs légèrement sur la poitrine ou le dos, pour éviter que le nœud fasse un point dur lorsque la victime baisse son bras sain

dimanche 2 mars 2014

Corps étrangers

On désigne sous ce terme général de petits corps (des poussières, par exemple) introduit accidentellement dans l'organisme. Le corps étranger peut être glissé sous les paupières. Il peut avoir pénétré dans les cavités naturelles (oreilles, nez, voies digestives).

Voyons ce qu'il faut faire dans de tels cas.

A - Œil.

- Ne frottez pas l’œil, cela peut provoquer une irritation qui aggravera les choses ;
- Si le corps étranger est sous la paupière inférieure, tirez-la vers le bas  en priant le sujet de regarder vers le haut ;
- S'il est sous la paupière supérieure  :

. essayez d'abord de le chasser en faisant glisser la paupière supérieure, saisie par les cils, sur la
  paupière inférieure.

En cas d'échec :

. d'une main, saisissez les cils entre le pouce et l'index ;
. de l'autre placez un petit bâtonnet (allumette, crayon mince) sur le milieu de la paupière ;
. retournez la paupière vers le haut en priant le sujet de regarder vers le bas (ainsi, pour bien dégager
  l’œil, on fait toujours regarder à l'opposé de l'endroit où est supposé se trouver le corps étranger.
Vous pourrez alors souvent apercevoir le corps étranger et l'enlever avec le coin d'un mouchoir propre et humide.
Mais, à propos de corps étranger fixé dans l’œil (particule métallique projetée avec force), il ne faut pas chercher à l'enlever, mais conduire la personne chez un médecin ophtalmologiste :

- qu'après toute projection de caustique dans l’œil (d'acide d'accumulateurs, par exemple, accident
  fréquent chez les garagistes), il faut immédiatement laver abondamment à l'eau courante, sous un
  robinet ou sous une douche, pendant longtemps, jusqu'à disparition des moindres picotements.
  Consultez, là aussi, un médecin ophtalmologiste.

B  - Oreille.

- Ne lavez pas une oreille bouchée ;
- N'essayez pas d'extraire le corps étranger avec une épingle, un fil métallique ;
- Confiez toujours le sujet à un médecin.

C - Voies Digestives.

En général, les corps étrangers (billes, boutons...) avalés, ne sont pas dangereux et sont évacués dans les selles.
Mais ils le deviennent s'ils sont piquants (épingles.. ou coupants. On pourra parfois éviter les accidents
en faisant absorber à la personne des substances pouvant enrober l'objet avalé, telles que : purée de pain, poireaux, aspergez... En tout cas, faites assurer au plus tôt le transport de l'intéressé à l'hôpital.

D. - Peau.

Retirez les échardes avec une pince spéciale ou, à défaut, avec une pince à épiler préalablement stérilisée.
Badigeonnez ensuite avec un antiseptique.

Si vous n'arrivez pas à retirer l'écharde, consultez un médecin.

jeudi 27 février 2014

Conseils aux utilisateurs de motocyclistes



-  Souvenez-vous que votre équilibre est fragile ;
Portez toujours votre casque : c'est votre seule carrosserie ;
-  Apprenez à freiner.


 -  Pour tourner :


.  Tendez le bras, ou mieux, faites équipez votre deux roues de clignotants.
.  N' hésitez pas à vous arrêter.
 .  Avertissez aussi les piétons de vos intentions.


-  Soyez habillés de couleurs claires pour être vus :



Casque clair et vêtements clairs peuvent vous sauver la vie de jour comme de nuit ; il vous est même vivement conseillé de vous équipez de dispositifs réfléchissants permettant aux automobilistes de déceler votre présence à plus de 100 mètres.


- Ralentissez aux intersections :


- Même si vous avez la priorité, vous pouvez avoir un accident grave en voulant garder votre élan :



-  Surveillez vos arrières : gardez votre droite ; ne faites pas  d'écarts brusques à gauche.


-  En groupe


-  Roulez en file indienne afin de permettre aux automobilistes de vous dépasser en toute sécurité.


-  Restez toujours vigilant, même sur un trajet familier : méfiez-vous de l'habitude.
- Contrôlez la parfaite fixation et la stabilité de votre chargement sur le porte-bagages et n'accrochez rien à votre guidon, ce qui pourrait vous gêner dans vos manœuvres.
-  Et, bien entendu, restez sobre : les effets de l'alcool sont encore plus sensibles au guidon qu'au volant.
-  Vous êtes tenus de rouler phare allumé de jour comme nuit, en conduisant une motocyclette.
   

Enfin souvenez-vous que pour les deux roues, il y a proportionnellement deux fois plus d'accidents que  pour les conducteurs de voitures. 

mercredi 26 février 2014

Rôle permanent du secouriste dans la prévention des accidents


De par les connaissances qu'il a acquise et l'expérience qu'il a retirée de ses interventions, le secouriste peut appliquer et doit faire connaître autour de lui un certain nombre de règles de prévention, utiles et souvent indispensables.


Il ne doit jamais perdre de vue que "Prévenir est un objectif moral plus élevé que guérir" ; les actions préventives sont souvent plus efficaces que les actions curatives qui connaissent des limites dans certains domaines".


La  formation  qu'il  a  reçue  a  permis  au  secouriste de s'initier à  la  genèse  et au développement :


- d'accidents de toute nature ;
- d'intoxications ;
- de certaines maladies ;


Il lui appartient donc, d'informer, de persuader et de rendre les membres de sa famille et de sa communauté plus conscients du rôle qu'ils peuvent jouer dans la protection de leur propre santé.


Il pourra le faire :


- au niveau familial, en appliquant et en faisant appliquer autour de lui les règles essentielles de prévention et d'hygiène, les vaccinations obligatoires ;
- au niveau de son travail ou de la voie publique, en contribuant à généraliser l'initiation aux gestes élémentaires de survie, en appliquant strictement les règles de sécurité du travail ou de sécurité routière et en veillant à leur application par son entourage habituel ou occasionnel.


La prévention de l'incendie, des accidents de travail, des accidents de la route, des accidents de loisirs et surtout des accidents domestiques, doit rester pour la secouriste une préoccupation majeure et de tous les instants.Quelques minutes d'intervention, mais des heures de mesures préventives destinées à les éviter dans une grande partie des cas, tel est le programme d'action du secouriste.

jeudi 20 février 2014

Feu dans un établissement répertorié


          La tâche du directeur des secours est facilitée par :


- l'existence des plans de l'établissement, qui aident dans sa reconnaissance, lui donnant notamment les points
  d'attaque et cheminements et lui précisant les risques de propagation ou, au contraire, les coupe-feu sûrs.


- la détermination, a priori, des moyens nécessaires à l'attaque, ce qui, en principe dispense de demander des
  renforts et permet, avant même l'arrivée des engins, de préparer leur engagement, d'où gain de temps et
  d'efficacité.


  Le dossier d'E.R. peut même comporter un plan d'engagement a priori des moyens, avec affectation de
  de secteurs d'intervention.


          Seuls les tous premiers secours n'ont pas de secteur affecté a priori. Le premier chef de garde engage ses moyens à son initiative, en fonction de la situation. L' (Les) engin (s), arrivant ensuite et trouvant ces
derniers dans le secteur qui lui (leur) était imparti par le plan d'E.R., se met (tent) à la disposition du directeur des secours, en réserve ou  pour exécuter toute autre mission.


          Les autres engins sont engagés, conformément aux prévisions du plan, par les chefs de détachement qui, dans leurs secteurs respectifs :


- reconnaissent ;

- effectuent éventuellement les sauvetages ;

- attaquent ;

- et rendent compte, dans les meilleurs délais, au P.C., par radio ou par un sapeur de liaison, de la situation,
  des moyens mis en œuvre, des besoins éventuels de renforts.


          Si le feu n'a pas atteint le secteur qui lui est imparti, le chef de détachement concerné maintient ses
 moyens mis en œuvre, des besoins éventuels de renforts.


          Si, en raison de circonstances particulières, il juge utile d'engager ses moyens en soutien dans un secteur voisin, il doit en rendre compte immédiatement au directeur des secours.


          Enfin, tout engin, appelé en remplacement d'un autre, normalement prévu au plan d'E.R et indisponible pour une cause quelconque, prend automatiquement à son compte la mission de ce dernier.