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dimanche 15 avril 2012
intervention des sapeurs-pompiers pour Ouverture de porte.
1. Généralités.
Il arrive de plus en plus fréquemment que les sapeurs-pompiers soient demandés pour procéder à l'ouverture d'une porte :
- par suite de perte de clés ;
- après fermeture intempestives, clés restées à l'intérieur ;
- l'occupant d'un local (personne âgée par exemple) ne donnant pas signe de vie ;
- une odeur suspecte se dégageant d'un appartement en l'absence de son occupant habituels.
A moins qu'il y ait doute (deux derniers cas) ou en cas d'impossibilité absolue de l'obtenir (milieu de la nuit, jour férié...), le demandeur doit être invité à rechercher le concours d'un serrurier (au besoin lui donner des adresses, répertoriées à priori au C.S).
En tous cas, sauf motif valable, les sapeurs-pompiers ne doivent intervenir que si l'opération ne leur fait pas courir de risque. Il faut, en outre, informer l'intéressé des dégâts possibles et obtenir son accord formel.
Toute intervention doit alors être effectuée en présence d'au moins un témoin, dont l'identité est relevée : voisin, concierge, police de préférence.
Dans les deux derniers cas mentionnés ci-dessus, demander toujours le concours de cette dernière.
Si, après ouverture de la porte, un sinistre particulier est découvert : asphyxié, fuite d'eau ou de gaz, début d'incendie..., prendre les premières mesures possibles et demander les secours complémentaires nécessaires.
2. Conduite de l'opération.
Toutes les fois que c'est possible, afin de limiter les dégâts, essayer de pénétrer dans les lieux par une fenêtre, en brisant un carreau, utiliser pour cela l'échelle de longueur voulue, à l'exclusion de l'échelle à crochet, mais ne jamais employer de cordage ; toutefois, s'il y a présomption de personne en danger, il peut être admis d'utiliser l'échelle à crochets, sous réserve que l'opérateur soit amarré par un cordage, assuré en retrait par un deuxième sapeur. Il est préférable, dans ce cas, d'opérer en partant de l'étage immédiatement supérieur au niveau à atteindre.
Se souvenir que, bien souvent, les fenêtres de W.C., salles d'eau, cuisines, sont mal ou pas fermées et constituent un moyen d'accès tout indiqué.
En cassant un carreau éviter de se blesser aux mains ou au visage (attention aux éclats de verre dans les yeux).
Pour cela :
- mettre des gants et utiliser la petite pince ;
- tourner la tête et la baisser, de façon que la visière du casque protège le visage ;
- en frappant par petits coups, essayer de ne briser qu'une partie du carreau à proximité de la poignée de la
fenêtre.
3. Pénétration par la porte.
S'il n'est pas possible de pénétrer dans les lieux par une fenêtre, on peut, pour accéder par la porte :
- récupérer la clé située à l'intérieur ;
- forcer la porte ;
- enfoncer un panneau.
3.1. Récupération d'une clé restée à l'intérieur sur la porte.
- S'il y a, au bas de la porte, un jour suffisant, y glisser une grande feuille de papier (un journal par exemple),
à la verticale de la serrure ;
- chasser la clé de la serrure au moyen d'un fil de fer, d'un tournevis (il peut être nécessaire de faire tourner
légèrement la clé si elle n'est pas exactement dans l'axe du trou de serrure ; le tournevis est alors très
indiqué car il permet d'obtenir la rotation voulue en faisant appui sur l'extrémité de la tige de la clé) ;
- retirer la feuille de papier (le journal) sur laquelle se trouve la clé.
3.2. Forcement d'une porte.
Cette méthode cause des dégâts relativement limités : arrachement de l'huisserie, au niveau de la serrure.
On peut procéder de deux manières différentes :
a) Avec une pince (petite ou grande), écarter la porte de l'huissier, en commençant par les extrémités haute et basse et placer une cale en bois un bouchon, pour maintenir l'écartement ; poursuivre l'opération, alternativement, en se rapprochant de la serrure.
La tension ainsi produite finit par provoquer l'arrachement de la gâche.
b) Si la porte est munie d'un verrou de sûreté : procéder d'abord au forcement de la serrure centrale ; pour
cela, introduire l'extrémité de la pince entre l'huisserie et la porte, alternativement juste au-dessus puis juste au-dessous de la serrure, et exercer par-à-coups une forte pression sur l'autre extrémité de la pince ; dès que la serrure centrale a cédé, opérer de même au niveau.
3.3 . Enfoncement d'un panneau.
a) Méthode du "coup de boîte".
Elle permet de faire sauter le panneau du bas.
En se plaçant face à la porte, frapper violemment le panneau avec le pied orienté de façon que la semelle de la botte l'atteigne de toute sa surface.
Cette méthode est plus efficace si elle est pratiquée à deux sapeurs, en tenant par la taille.
Elle ne doit pas être employée si on suppose qu'une personne est tombée derrière la porte (selon des renseignements obtenus de voisins, d'après des râles, une respiration haletante, ou l'observation qu'on a pu faire par une fenêtre).
b) Dans ce dernier cas, faire sauter le panneau supérieur de la porte, en essayant de ne pas le faire tomber sur la victime, atteindre alors la poignée de la porte ou la clé. Si l'ouverture n'est pas possible ainsi, un sapeur se glissera par le passage crée, en partie haute, par l'enlèvement du pansement.
c) Certaines portes sont pourvues d'un panneau central de petite largeur situé à hauteur de la serrure.
Pour limiter les dégâts, faire sauter de préférence cet élément.
Cette méthode n'est évidemment valable que si la porte peut être ouverte de l'intérieur.
4. Cas particuliers.
4.1. Portes coulissantes pleines.
Elles sont de modèles divers. Il faut adapter la méthode d'ouverture ou de forcement à la situation.
Différentes méthodes possibles :
- écartement du mur, le long de laquelle, coulisse le battant, au moyen de grandes pinces ; le battant peut
alors se trouver dégagé de la glissière et on le fait tomber en le poussant, ou du rail-guide et on peut
l'écarter par balancement.
4.2. Portes coulissantes en treillis métallique.
Opérer sur la serrure au moyen de la petite ou de la grande pince. Éventuellement, pratiquer une ouverture en sectionnant des éléments du treillis au moyen d'outils de découpage : scies diverses, chalumeau.
Sinon, il faut essayer de forcer la serrure ou d'enfoncer un panneau.
Certaines de ces portes sont munies d'un verrou par battant.
4.4. Portes en barreaux métalliques.
S'il n'est pas possible de venir à bout de la serrure, il faut pratiquer une ouverture à l'aide de pinces coupantes, scies, chalumeau. Il peut être possible d'écarter des barreaux au moyen de vérins, écarteurs, coussins pneumatiques.
4.5. Rideaux métalliques.
Les systèmes de fermeture sont très divers et il faut adapter l'action à chacun dont il y a lieu d'abord de déterminer avec précision la nature.
Il ne faut pas perdre de vue qu'un rideau métallique déformé ne pourra pas être soulevé.
- Si le rideau est verrouillé en partie basse par un simple cadenas il suffit de faire sauter ce dernier
(sectionnement par exemple) ;
- Si le verrouillage est latéral, il peut être possible de faire céder les tenons en exerçant simultanément sur
chacun une poussée au moyen de grandes pinces ;
- En denier ressort, pratiquer une ouverture dans le rideau au moyen d'appareils de découpage : scie à
disque, chalumeau, burin découpeur pneumatique associé à une mâchoire pneumatique.
4.6. Portes basculantes.
Il faut neutraliser le système de fermeture, après en avoir déterminé la nature, pour pouvoir ouvrir en
poussant en partie haute.
En dernier ressort, pratiquer une ouverture comme il est dit en 4.5
5. Remarque.
Avant d'entreprendre une opération délicate, il ne faut pas omettre, si on se trouve en présence d'une serrure qui semble simple, d'essayer de l'ouvrir au moyen.
6. Mesures à prendre après une ouverture de porte en l'absence des locataires
ou propriétaires.
Il faut toujours essayer de refermer, de façon sûre le local concerné.
A défaut de cette possibilité, de confier la garde aux services de la police et, en attendant leur arrivée, faire assurer momentanément cette garde par un sapeur.
6.1 Modes de fermeture d'un local après une intervention.
a) Si la porte et son huisserie, ne sont pas très détériorées :
- porte pourvue d'une serrure simple, il suffit de tirer le battant ; le pêne se referme de lui-même dans
la gâche ;
- porte pourvue d'un verrou de sûreté à molette ;
. mettre le verrou en position ouverte ;
. enrouler une extrémité d'une ficelle mince et résistante, de plusieurs tours dans le sens de rotation de
fermeture, autour du bouton molette du verrou.
. tendre l'autre extrémité de la ficelle et la faire passer, si l'espace est suffisant, entre la porte et l'huisserie ;
si cet espace est insuffisant, par le trou de la serrure.
. maintenir la porte en position de fermeture et tirer fermement sur l'extrémité libre de la ficelle qui, en se
déroulant, parvient à entraîner la molette du verrou (il faut se munir d'un gant pour protéger la main de
traction.
b) Dans l'impossibilité de procéder comme il vient d'être indiqué ci-dessus ou dans le le cas où la porte et
huisserie sont dans un état ne permettant plus à la la serrure et à la gâche de tenir suffisamment, il faut
procéder à la pose d'un cadenas.
Un piton rond est vissé dans l'huisserie, perpendiculairement, de façon que les deux anneaux se chevauchent.
La clé du cadenas est remise aux services de police qui devront en assure la remise ultérieure aux sapeurs-pompiers.
Il arrive de plus en plus fréquemment que les sapeurs-pompiers soient demandés pour procéder à l'ouverture d'une porte :
- par suite de perte de clés ;
- après fermeture intempestives, clés restées à l'intérieur ;
- l'occupant d'un local (personne âgée par exemple) ne donnant pas signe de vie ;
- une odeur suspecte se dégageant d'un appartement en l'absence de son occupant habituels.
A moins qu'il y ait doute (deux derniers cas) ou en cas d'impossibilité absolue de l'obtenir (milieu de la nuit, jour férié...), le demandeur doit être invité à rechercher le concours d'un serrurier (au besoin lui donner des adresses, répertoriées à priori au C.S).
En tous cas, sauf motif valable, les sapeurs-pompiers ne doivent intervenir que si l'opération ne leur fait pas courir de risque. Il faut, en outre, informer l'intéressé des dégâts possibles et obtenir son accord formel.
Toute intervention doit alors être effectuée en présence d'au moins un témoin, dont l'identité est relevée : voisin, concierge, police de préférence.
Dans les deux derniers cas mentionnés ci-dessus, demander toujours le concours de cette dernière.
Si, après ouverture de la porte, un sinistre particulier est découvert : asphyxié, fuite d'eau ou de gaz, début d'incendie..., prendre les premières mesures possibles et demander les secours complémentaires nécessaires.
2. Conduite de l'opération.
Toutes les fois que c'est possible, afin de limiter les dégâts, essayer de pénétrer dans les lieux par une fenêtre, en brisant un carreau, utiliser pour cela l'échelle de longueur voulue, à l'exclusion de l'échelle à crochet, mais ne jamais employer de cordage ; toutefois, s'il y a présomption de personne en danger, il peut être admis d'utiliser l'échelle à crochets, sous réserve que l'opérateur soit amarré par un cordage, assuré en retrait par un deuxième sapeur. Il est préférable, dans ce cas, d'opérer en partant de l'étage immédiatement supérieur au niveau à atteindre.
Se souvenir que, bien souvent, les fenêtres de W.C., salles d'eau, cuisines, sont mal ou pas fermées et constituent un moyen d'accès tout indiqué.
En cassant un carreau éviter de se blesser aux mains ou au visage (attention aux éclats de verre dans les yeux).
Pour cela :
- mettre des gants et utiliser la petite pince ;
- tourner la tête et la baisser, de façon que la visière du casque protège le visage ;
- en frappant par petits coups, essayer de ne briser qu'une partie du carreau à proximité de la poignée de la
fenêtre.
3. Pénétration par la porte.
S'il n'est pas possible de pénétrer dans les lieux par une fenêtre, on peut, pour accéder par la porte :
- récupérer la clé située à l'intérieur ;
- forcer la porte ;
- enfoncer un panneau.
3.1. Récupération d'une clé restée à l'intérieur sur la porte.
- S'il y a, au bas de la porte, un jour suffisant, y glisser une grande feuille de papier (un journal par exemple),
à la verticale de la serrure ;
- chasser la clé de la serrure au moyen d'un fil de fer, d'un tournevis (il peut être nécessaire de faire tourner
légèrement la clé si elle n'est pas exactement dans l'axe du trou de serrure ; le tournevis est alors très
indiqué car il permet d'obtenir la rotation voulue en faisant appui sur l'extrémité de la tige de la clé) ;
- retirer la feuille de papier (le journal) sur laquelle se trouve la clé.
3.2. Forcement d'une porte.
Cette méthode cause des dégâts relativement limités : arrachement de l'huisserie, au niveau de la serrure.
On peut procéder de deux manières différentes :
a) Avec une pince (petite ou grande), écarter la porte de l'huissier, en commençant par les extrémités haute et basse et placer une cale en bois un bouchon, pour maintenir l'écartement ; poursuivre l'opération, alternativement, en se rapprochant de la serrure.
La tension ainsi produite finit par provoquer l'arrachement de la gâche.
b) Si la porte est munie d'un verrou de sûreté : procéder d'abord au forcement de la serrure centrale ; pour
cela, introduire l'extrémité de la pince entre l'huisserie et la porte, alternativement juste au-dessus puis juste au-dessous de la serrure, et exercer par-à-coups une forte pression sur l'autre extrémité de la pince ; dès que la serrure centrale a cédé, opérer de même au niveau.
3.3 . Enfoncement d'un panneau.
a) Méthode du "coup de boîte".
Elle permet de faire sauter le panneau du bas.
En se plaçant face à la porte, frapper violemment le panneau avec le pied orienté de façon que la semelle de la botte l'atteigne de toute sa surface.
Cette méthode est plus efficace si elle est pratiquée à deux sapeurs, en tenant par la taille.
Elle ne doit pas être employée si on suppose qu'une personne est tombée derrière la porte (selon des renseignements obtenus de voisins, d'après des râles, une respiration haletante, ou l'observation qu'on a pu faire par une fenêtre).
b) Dans ce dernier cas, faire sauter le panneau supérieur de la porte, en essayant de ne pas le faire tomber sur la victime, atteindre alors la poignée de la porte ou la clé. Si l'ouverture n'est pas possible ainsi, un sapeur se glissera par le passage crée, en partie haute, par l'enlèvement du pansement.
c) Certaines portes sont pourvues d'un panneau central de petite largeur situé à hauteur de la serrure.
Pour limiter les dégâts, faire sauter de préférence cet élément.
Cette méthode n'est évidemment valable que si la porte peut être ouverte de l'intérieur.
4. Cas particuliers.
4.1. Portes coulissantes pleines.
Elles sont de modèles divers. Il faut adapter la méthode d'ouverture ou de forcement à la situation.
Différentes méthodes possibles :
- écartement du mur, le long de laquelle, coulisse le battant, au moyen de grandes pinces ; le battant peut
alors se trouver dégagé de la glissière et on le fait tomber en le poussant, ou du rail-guide et on peut
l'écarter par balancement.
4.2. Portes coulissantes en treillis métallique.
Opérer sur la serrure au moyen de la petite ou de la grande pince. Éventuellement, pratiquer une ouverture en sectionnant des éléments du treillis au moyen d'outils de découpage : scies diverses, chalumeau.
Sinon, il faut essayer de forcer la serrure ou d'enfoncer un panneau.
Certaines de ces portes sont munies d'un verrou par battant.
4.4. Portes en barreaux métalliques.
S'il n'est pas possible de venir à bout de la serrure, il faut pratiquer une ouverture à l'aide de pinces coupantes, scies, chalumeau. Il peut être possible d'écarter des barreaux au moyen de vérins, écarteurs, coussins pneumatiques.
4.5. Rideaux métalliques.
Les systèmes de fermeture sont très divers et il faut adapter l'action à chacun dont il y a lieu d'abord de déterminer avec précision la nature.
Il ne faut pas perdre de vue qu'un rideau métallique déformé ne pourra pas être soulevé.
- Si le rideau est verrouillé en partie basse par un simple cadenas il suffit de faire sauter ce dernier
(sectionnement par exemple) ;
- Si le verrouillage est latéral, il peut être possible de faire céder les tenons en exerçant simultanément sur
chacun une poussée au moyen de grandes pinces ;
- En denier ressort, pratiquer une ouverture dans le rideau au moyen d'appareils de découpage : scie à
disque, chalumeau, burin découpeur pneumatique associé à une mâchoire pneumatique.
4.6. Portes basculantes.
Il faut neutraliser le système de fermeture, après en avoir déterminé la nature, pour pouvoir ouvrir en
poussant en partie haute.
En dernier ressort, pratiquer une ouverture comme il est dit en 4.5
5. Remarque.
Avant d'entreprendre une opération délicate, il ne faut pas omettre, si on se trouve en présence d'une serrure qui semble simple, d'essayer de l'ouvrir au moyen.
6. Mesures à prendre après une ouverture de porte en l'absence des locataires
ou propriétaires.
Il faut toujours essayer de refermer, de façon sûre le local concerné.
A défaut de cette possibilité, de confier la garde aux services de la police et, en attendant leur arrivée, faire assurer momentanément cette garde par un sapeur.
6.1 Modes de fermeture d'un local après une intervention.
a) Si la porte et son huisserie, ne sont pas très détériorées :
- porte pourvue d'une serrure simple, il suffit de tirer le battant ; le pêne se referme de lui-même dans
la gâche ;
- porte pourvue d'un verrou de sûreté à molette ;
. mettre le verrou en position ouverte ;
. enrouler une extrémité d'une ficelle mince et résistante, de plusieurs tours dans le sens de rotation de
fermeture, autour du bouton molette du verrou.
. tendre l'autre extrémité de la ficelle et la faire passer, si l'espace est suffisant, entre la porte et l'huisserie ;
si cet espace est insuffisant, par le trou de la serrure.
. maintenir la porte en position de fermeture et tirer fermement sur l'extrémité libre de la ficelle qui, en se
déroulant, parvient à entraîner la molette du verrou (il faut se munir d'un gant pour protéger la main de
traction.
b) Dans l'impossibilité de procéder comme il vient d'être indiqué ci-dessus ou dans le le cas où la porte et
huisserie sont dans un état ne permettant plus à la la serrure et à la gâche de tenir suffisamment, il faut
procéder à la pose d'un cadenas.
Un piton rond est vissé dans l'huisserie, perpendiculairement, de façon que les deux anneaux se chevauchent.
La clé du cadenas est remise aux services de police qui devront en assure la remise ultérieure aux sapeurs-pompiers.
samedi 14 avril 2012
Arrêt d'appareil d'alarme sonore.
Les sapeurs-pompiers sont fréquemment appelés pour arrêter des appareils d'alarme sonore, installés soit dans des établissements tels que magasins, banques, soit même dans des appartements ou villas.
Conduite à tenir :
- dès l'arrivée, le chef de détachement cherche à connaître l'adresse du propriétaire, du locataire, du gérant, afin d'entrer en contact avec lui ;
- si le contact a pu être réalisé et si l'intéressé est en mesure de se rendre sur des lieux dans des délais
relativement courts, un gradé demeure sur les lieux pour l'attendre ;
- dans le cas contraire, et éventuellement avec l'accord de l'intéressé dans l'impossibilité de venir immédiatement sur place, procéder de l'une des manières suivantes, selon le cas, toujours en présence de la police, qu'il faut demander si elle n'est pas déjà sur place.
1. Appareil à l'extérieur.
- Débrancher les fils d'alimentation de l'appareil ;
- se retirer en s'assurant que la surveillance sera exercée par la police jusqu'à l'arrivée de l'intéressé
2. Appareil à l'intérieur.
- En présence de la police, pénétrer dans les lieux en faisant le minimum de dégâts (de préférence pénétrer
par une baie, en brisant un carreau de fenêtre par exemple) ;
- débrancher les fils d'alimentation de l'appareil ou actionner l'interrupteur ;
- se retirer comme dans le cas précédent.
Conduite à tenir :
- dès l'arrivée, le chef de détachement cherche à connaître l'adresse du propriétaire, du locataire, du gérant, afin d'entrer en contact avec lui ;
- si le contact a pu être réalisé et si l'intéressé est en mesure de se rendre sur des lieux dans des délais
relativement courts, un gradé demeure sur les lieux pour l'attendre ;
- dans le cas contraire, et éventuellement avec l'accord de l'intéressé dans l'impossibilité de venir immédiatement sur place, procéder de l'une des manières suivantes, selon le cas, toujours en présence de la police, qu'il faut demander si elle n'est pas déjà sur place.
1. Appareil à l'extérieur.
- Débrancher les fils d'alimentation de l'appareil ;
- se retirer en s'assurant que la surveillance sera exercée par la police jusqu'à l'arrivée de l'intéressé
2. Appareil à l'intérieur.
- En présence de la police, pénétrer dans les lieux en faisant le minimum de dégâts (de préférence pénétrer
par une baie, en brisant un carreau de fenêtre par exemple) ;
- débrancher les fils d'alimentation de l'appareil ou actionner l'interrupteur ;
- se retirer comme dans le cas précédent.
Distribution de gaz
Le gaz provient des centres de production ou de distribution par des conducteurs souterrains (sous trottoirs ou chaussées).
Il est distribué dans les immeubles par des conduites en plomb piquées sur la conduite "ville". Les principaux appareils placés sur la canalisation du gaz d'une maison sont :
- à l'extérieur : le coffret avec robinet de barrage ;
- sur les paliers : un robinet de barrage par appartement ;
- à l'intérieur des appartements : le compteur et les appareils d'utilisation.
En cas d'accident ou d'incendie éclatant dans un local, on peut, selon le cas, soit fermer le barrage de la canalisation secondaire (sur le palier par exemple), soit barrer la colonne montante elle-même. Il faut dans tous les cas demander le service compétent du Gaz de France, qui a seul qualité pour rétablir la distribution.
Dans les régions qui ne sont pas alimentés en gaz dit "de ville", on trouve de plus en plus des installations de gaz liquéfiés (butane ou propane) ; ces installations comportent un ou plusieurs réservoirs de gaz liquéfiés, dont la capacité peut varier de 40 kg à t et parfois plus ; à part les "bouteilles" de 40 kg, qu'on peut trouver à l'intérieur des locaux ces réservoirs sont normalement installés à l'extérieur, les locaux sont alors desservis par une canalisation, avec détendeur, barrage extérieur et contre-barrage intérieur. Ces installations font l'objet d'une réglementation particulière.
Il est distribué dans les immeubles par des conduites en plomb piquées sur la conduite "ville". Les principaux appareils placés sur la canalisation du gaz d'une maison sont :
- à l'extérieur : le coffret avec robinet de barrage ;
- sur les paliers : un robinet de barrage par appartement ;
- à l'intérieur des appartements : le compteur et les appareils d'utilisation.
En cas d'accident ou d'incendie éclatant dans un local, on peut, selon le cas, soit fermer le barrage de la canalisation secondaire (sur le palier par exemple), soit barrer la colonne montante elle-même. Il faut dans tous les cas demander le service compétent du Gaz de France, qui a seul qualité pour rétablir la distribution.
Dans les régions qui ne sont pas alimentés en gaz dit "de ville", on trouve de plus en plus des installations de gaz liquéfiés (butane ou propane) ; ces installations comportent un ou plusieurs réservoirs de gaz liquéfiés, dont la capacité peut varier de 40 kg à t et parfois plus ; à part les "bouteilles" de 40 kg, qu'on peut trouver à l'intérieur des locaux ces réservoirs sont normalement installés à l'extérieur, les locaux sont alors desservis par une canalisation, avec détendeur, barrage extérieur et contre-barrage intérieur. Ces installations font l'objet d'une réglementation particulière.
dimanche 1 avril 2012
mardi 27 mars 2012
Etude Descriptive Elémentaire des Constructions.
Toute construction comporte des éléments verticaux porteurs et des éléments horizontaux, dits de franchissement horizontaux, qui sont des planchers, les poutres et les linteaux.
Les éléments verticaux, dont une partie est en par dessous du niveau général du sol, où ils abritent les sous-sols et les fondations, constituent, hors sol, les murs de façade et intérieurs.
La construction est couronnée, soit par un plancher-terrasse, soit par des éléments légers, inclinés : les toitures, elles-mêmes supportées par des charpentes.
Les différentes divisions horizontales sont mises en communication entre elles par des escaliers, des ascenseurs, des monte-charge et des rampes..
Ces circulations verticales sont susceptibles de jouer un rôle important dans la propagation des
incendies.
L'ensemble repose sur des structures, souvent importantes et coûteuses, dont dépend sa stabilité durable : les fondations.
Enfin, les éléments porteurs principaux, verticaux et horizontaux , peuvent être réduits à des pièces espacées, poteaux et poutres, solidement assemblées et contre ventées et constituant une ossature ou charpente.
Dans ce type de construction, on ne trouve plus de murs proprement dits, mais seulement des remplissages et des cloisonnements, voire des murs-rideaux littéralement suspendus, plaques, en façades, contre les éléments verticaux et horizontaux ; ces éléments ne participent pas à la solidité du bâtiment mais seulement à sa division interne et à sa protection vis-à-vis des influences.
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