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dimanche 10 juin 2012
jeudi 31 mai 2012
Sandock Mbéfethie - Ndiaganiao
La Commune de Ndiaganiao est limitée au Nord par la commune de Ngoudiane, au Sud par celle de Sessène et Sandiara, à l'Est par celle de Fissel , et à l'Ouest par la commune de Tassette et Sindia.
Elle couvre une superficie de 378,5 km2 est composée de trente sept (37) villages :
- Sandock (13 villages), fondé par une personne de ce nom ;
- et Ndiaganiao (24 villages). Les familles qui vivent dans cette localité sont parentés et entretiennent des relations étroites.
La commune de Ndiaganiao se divise en trois (03) zones :
- zone de bas-fonds ;
- zone de Sandock ;
- et zone de Ndiaganiao.
La population est composée de trois ethnies :
- les Sérères représentent 75 % ;
- les Wolofs 13 % ;
- les Pulaars 11 %.
Les autres ethnies minoritaires sont les maures, les mandjack et les diolas, ils représentent 3 % de la population.
80 % des habitants de la localité sont des musulmans, 10 % des chrétiens et le même taux pour les animistes
(adeptes de la religion traditionnelle).
La Commune connaît un fort taux de migration, notamment celle des jeunes et des femmes. Cette forte mobilité est due à la pauvreté des sols, à l'insuffisance des terres arables et au manque d'emploi caractérisée
par l'exode rurale vers des cieux plus cléments (les grandes villes comme Dakar, Mbour et Thiès).mercredi 16 mai 2012
Etat de Détresse.
Le blessé grave de la route est généralement porteur de blessures multiples (65 % des cas), d'où le nom générique de polytraumatisé, du grec "polus" (nombreux) et "trauma" (blessure) qui lui a été donné.
Cette multiplicité de blessures, le plus souvent situées dans les parties médiane et haute du corps, entraîne fatalement chez lui des états de détresse :
- détresse respiratoire ;
- détresse circulatoire ;
- détresse nerveuse.
Si l'on n'intervient pas, ces détresses vont tuer très vite. Pallier ces urgences vitales constitue le premier devoir du secouriste témoin d'un accident de la route :
- en suppléant une respiration défaillante ou absente :
- en arrêtant les hémorragies par compression directe ;
- en plaçant la victime inconsciente, mais qui respire dont le cœur bat, en position latérale de sécurité
(P.L.S.).
Mais là ne doit pas s'arrêter l'action du secouriste. Une fois ces trois gestes accomplis, il ne doit surtout pas délaisser le blessé. Jusqu'à l'arrivée des secours médicalisés, il doit exercer une véritable surveillance :
- surveillance de la victime sans connaissance : ventilation, circulation ;
- surveillance de la victime dont l'hémorragie peut reprendre ;
- surveillance aussi de celui qui, indemne en apparence a perdu connaissance pendant quelque minutes, puis est revenu à lui.
Cette surveillance portera sur des points bien précis que le secouriste doit connaître parfaitement.
Cette multiplicité de blessures, le plus souvent situées dans les parties médiane et haute du corps, entraîne fatalement chez lui des états de détresse :
- détresse respiratoire ;
- détresse circulatoire ;
- détresse nerveuse.
Si l'on n'intervient pas, ces détresses vont tuer très vite. Pallier ces urgences vitales constitue le premier devoir du secouriste témoin d'un accident de la route :
- en suppléant une respiration défaillante ou absente :
- en arrêtant les hémorragies par compression directe ;
- en plaçant la victime inconsciente, mais qui respire dont le cœur bat, en position latérale de sécurité
(P.L.S.).
Mais là ne doit pas s'arrêter l'action du secouriste. Une fois ces trois gestes accomplis, il ne doit surtout pas délaisser le blessé. Jusqu'à l'arrivée des secours médicalisés, il doit exercer une véritable surveillance :
- surveillance de la victime sans connaissance : ventilation, circulation ;
- surveillance de la victime dont l'hémorragie peut reprendre ;
- surveillance aussi de celui qui, indemne en apparence a perdu connaissance pendant quelque minutes, puis est revenu à lui.
Cette surveillance portera sur des points bien précis que le secouriste doit connaître parfaitement.
lundi 14 mai 2012
Intégration de la Sécurité dans les différentes phases de la construction.
A - Directives Générales
A l'origine de toute opération se trouvent obligatoirement des directives générales données au niveau le plus haut par le maître de l'ouvrage, (personne physique ou morale désirant faire construire un ouvrage pour elle-même ou autrui et ayant donc la responsabilité du choix du parti) par exemple :
- création d'une usine destinée à fabriquer tant de véhicules par jour ;
- changement de siège social devenu trop exigu - nécessité de construire 10.000 m2 de bâtiments neufs etc...
Ces directives générales sont remises à un responsable de projet chargé de l'opération chez le maître d'ouvrage.
B - Programmes :
Le responsable du projet doit diriger l'élaboration du programme qui doit comprendre les données générales telles que :
- choix du terrain (éventuellement) ;
- contraintes d'exploitation, circuit de fabrication,
- équipements spéciaux nécessaires ;
- surface des locaux ;
- budget disponible.
C - Études Préliminaires : Parti Général
Le programme est remis au maître de l'œuvre - Architecte, bureau d'études, ingénieur-conseil... - (homme de l'art chargé par le maître de l'ouvrage, de l'assister en réalisant certaines des différentes phases d'une opération de construction suivantes :
- conception, études architecturales et techniques de l'œuvre ;
- direction générale (ou partielle) de l'exécution des travaux et réception de ceux-ci, qui, à partir de ce programme, procède aux études préliminaires.
Ces études préliminaires comportent :
- recueil d'informations auprès des services administratifs (est nécessaire) ;
- établissement d'esquisses (à très petite échelle) ;
- évaluation approximative globale.
Ces études permettent au maître de l'ouvrage de fixer son choix sur un parti général.
D - Avant-Projet
Le maître de l'ouvrage ayant choisi un parti général, le maître de l'œuvre procède à l'élaboration de l'avant-projet, celui-ci comprendra :
- plan de masse ;
- plans, coupes, façades (à 1 cm/m maximum) ;
- devis descriptif sommaire ;
- estimation globale des travaux.
NOTA.- Cet avant-projet constitué bien souvent le dossier le permis de construire.
E.- Projet
L'avant-projet ayant été approuvé par le maître de l'ouvrage (et l'administration ; permis de construire si nécessaire), le maître de l'œuvre établit le projet qui doit définir dans sa totalité l'ouvrage, et dans les moindres détails.
Celui-ci comprendra :
- plans, coupes, façades, détails à grande échelle ;
- devis descriptif, détaillé des éléments de la construction ;
- estimation ventilée par corps d'État.
II - Intégration de la sécurité dans la conception
Cette intégration se fera par des interventions de la personne ou de l'organisme chargé de la sécurité par le maître de l'ouvrage, au niveau et parfois en amont de chacune des phases de la conception. Ces interventions découlant bien évidemment d'études des risques spécifiques encourus par le type d'activités auxquelles sont destinées les constructions projetées.
Dans les diverses participations telles quelles sont définies ci-dessous, le chargé de sécurité, si le besoin s'en fait sentir, demandera à son assureur et aux services d'intervention locaux (protection civile, sapeurs-pompiers) leurs avis et leurs conseils.
I - Intervention du Chargé de Sécurité au niveau du programme.
Le chargé de sécurité doit participer à l'élaboration du programme en y incluant les grandes lignes de la sécurité telles que :
- définition des dangers et risques ;
. nature de ceux-ci ;
. isolement des locaux et bâtiments les uns par rapport aux autres ;
. nécessité de limiter les charges calorifiques par locaux et bâtiments ;
- protection des personnes.
. temps et principes généraux d'évacuation ;
. types d'activités à protéger ;
. grandes lignes des règlements à appliquer ;
- protection des biens.
. définition des points névralgiques ;
. compartimentage ;
. séparation et multiplication des chaines ;
. activités aggravantes.
2. Intervention du chargé de sécurité sur le parti général retenu pour permettre au maître de
l'œuvre d'élaborer l'avant-projet.
Les grandes lignes du parti architectural étant arrêtées, cette intervention comprendra les trois missions suivantes :
- vérification du respect des grandes lignes données à l'élaboration du programme ;
- préciser, bâtiment, niveau par niveau, local par local, les différentes règles à respecter influant directement sur la forme des bâtiments et des locaux (largeur des couloirs, des escaliers, nombre d'issues, évacuation des fumées surfaces plus précises de certains locaux.
- dresser la liste des différentes contraintes de sécurité qui permettront au maître d'œuvre de proposer des solutions techniques (éventuellement locaux par locaux) ;
. structure, couverture ;
. cloisonnement ;
. chauffage, ventilation ;
. électricité ;
. seconde œuvre.
3. Intervention du chargé de sécurité : préalablement et pendant l'élaboration du projet.
Il s'agit là d'interventions ponctuelles de détails dans le choix de matériaux, des éléments de construction, de l'installation des moyens de protection.
Conclusion
L'intervention du chargé de sécurité dans toutes les phases de la conception d'un ouvrage permettra de ne pas avoir à supporter ultérieurement des aménagements ou compléments d'installations coûteux et susceptibles d'entraver l'activité normale de l'établissement (si ceux-ci ne sont pas immédiatement compromis par une conception absurde).
C'est au cours de la gestation de cette conception du programme jusqu'au projet définitif, qu'il faut penser à la survie du personnel, à la protection de l'établissement. Il convient donc d'associer aux études les hommes de la sécurité, de l'organisation du travail et de l'assurance.
Il en coûte peu et on y gagne à coup sûr bien davantage.
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