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mercredi 6 janvier 2016
lundi 4 janvier 2016
Luxations et entorses
Dans les deux cas, il y a lésion des ligaments d'une articulation :
- s'il y a déplacement d'une extrémité osseuse (si l'os est sorti de son logement articulaire normal) : c'est une
luxation ;
- s'il n'y a pas de déplacement d'une extrémité osseuse, si les ligaments de l'articulation intéressée sont déchirés ou froissés (ce qui se produit évidement toujours aussi dans les luxations) : c'est une entorse.
Dans les deux cas aussi, la lésion traumatique s'accompagne des vives douleurs, d'un gonflement local et d'ecchymoses.Une impotence fonctionnelle pratiquement absolue du membre correspondant marque la luxation, alors quelle est relative, discrète ou prononcée en cas d'entorse.
L'entorse peut être simple ou compliquée, avec tous les degrés possibles de gravité allant de la simple distension (foulure) à la rupture ligamentaire avec ou sans arrachement osseux. La foulure est une simple distension des ligaments d'une articulation ;
Enfin, rappelons que luxations et entorses existent :
- isolées ;
- associées à une fracture.
Chez certaines personnes, il existe des "luxations récidivantes" (épaules en particulier) qui surviennent de plus en plus fréquemment et facilement, et que l'on peut traiter par un traitement chirurgical orthopédique.
Il existe aussi des luxations "congénitales" (de la hanche en particulier) plus ou moins prononcées, qu'il faut déceler le plus tôt possible après la naissance pour un traitement efficace ;
Conduite à tenir
1) - Le danger de la luxation est la compression d'un nerf (apparition de troubles sensitifs) ou d'un vaisseau (arrêt de la circulation).
Il faut donc agir vite. Sans jamais chercher à remettre en place, immobilisez la luxation comme une fracture, dans la position où on la trouve par un bandage assurant contention et soutien souple pour éviter les mouvements douloureux. On peut aussi essayer de calmer la douleur, en attendant le médecin ou le transport à l'hôpital, par l'application de compresses d'eau froide ou d'une vessie de glace.
2) - Pour une entorse, un bandage de contention moyennement serré sera de même exécuté.
Notez que dans le cas d'une entorse simple, des bains chauds salés, avec un bandage léger de l'articulation permettant une immobilisation partielle, donnent le plus souvent d'excellents résultats.
Mais dans le cas d'une entorse compliquée, le recours au médecin est obligatoire. Et un repos total du membre s'imposera.
3) - Deux cas particuliers sont à connaître :
- la luxation de l'épaule : c'est une urgence, car peut se jouer le devenir fonctionnel du membre supérieur par compression vasculo-nerveuse. Il faut après pose d'une écharpe oblique et rembourrage de l'aisselle surveiller la victime par la prise du pouls radial du membre correspondant en attendant le médecin ou le transport à l'hôpital.
- la luxation de la colonne cervicale, avec ses risques nerveux catastrophiques, et même souvent son pronostic vital défavorable, est de la seule compétence médicale.
mercredi 30 décembre 2015
La planche olivier
Présentation :
Conçue par l'ex-adjudant-chef Olivier, de la Brigade de sapeurs-pompiers de Paris, c'est une planche constituée de deux épaisseurs de contreplaqué entre lesquelles des évidemments permettent le passage de fortes lanières de toile :
Dimensions : 1,80 m x 0,80 m x 0,003 m :
Poids : 9 kg.
6 sangles d'immobilisation.
4 poignées de transport.
Possibilités d'emploi :
Cet appareil peut équiper les fourgons qui, à défaut d'ambulances, peuvent servir eux-mêmes au transport d'une victime, le brancard étant disposé entre les banquettes sur les genoux du personnel.
Il permet :
- l'évacuation de blessés, des lieux difficilement accessibles ou inaccessibles aux brancards (excavations
diverses...) ;
- l'immobilisation des victimes ;
- le transport d'une personne suspecte de fracture de la colonne vertébrale ;
- le passage dans les escaliers étroits ;
- le passage direct sans transfert de la victime, à la radiographie, car la planche est perméable aux rayons X:
Ces possibilités s'offrent planche à l’horizontale. Toute manœuvre exigeant une position verticale très inclinée n'est possible qu'avec, en complément, le brancard type "Marine".
Manœuvre :
- transport de la planche seule, possible par un sapeur ;
- chargement de la victime en bout : la victime étant soulevée, en bout, par trois ou quatre sapeurs, la planche
est glissée longitudinalement (latéralement : méthode "à la cuillère") ;
- immobilisation de la victime à l'aide des sangles, en prenant soin d'éviter :
. le glissement ;
. les compressions dangereuses, ou douloureuses ;
- déplacement avec une victime tête vers l'avant par quatre porteurs ;
. transport à bout de bras par les poignées ;
. transport à hauteur des épaules ;
. franchissement d'obstacles suivant la méthode enseignée en brancardage ;
- chargement dans le fourgon :
. 1 sapeur monte dans le fourgon et recule en portant l'extrémité de la planche,
. 2 se placent latéralement et font glisser la planche, le 3° sapeur soutenant l'autre extrémité,
. les porteurs montent ensuite dans le fourgon et la planche est déposée sur les genoux des sapeurs assis face
à face sur les banquettes.
- mise en place de la victime sur un chariot d'hôpital ou un lit,
. faire reposer un côté de la planche sur le chariot ou le bord du lit,
. les deux porteurs ainsi libérés se portent de l'autre côté du chariot ou du lit et tirent la couverture de façon
à faire glisser la victime en la remuant le moins possible.
Le personnel employé est celui du fourgon.
Entretien et vérifications :
Périodiquement :
- nettoyer la planche ;
- vérifier que les faces sont bien lisse ;
- vérifier l'état des sangles.
Conçue par l'ex-adjudant-chef Olivier, de la Brigade de sapeurs-pompiers de Paris, c'est une planche constituée de deux épaisseurs de contreplaqué entre lesquelles des évidemments permettent le passage de fortes lanières de toile :
Dimensions : 1,80 m x 0,80 m x 0,003 m :
Poids : 9 kg.
6 sangles d'immobilisation.
4 poignées de transport.
Possibilités d'emploi :
Cet appareil peut équiper les fourgons qui, à défaut d'ambulances, peuvent servir eux-mêmes au transport d'une victime, le brancard étant disposé entre les banquettes sur les genoux du personnel.
Il permet :
- l'évacuation de blessés, des lieux difficilement accessibles ou inaccessibles aux brancards (excavations
diverses...) ;
- l'immobilisation des victimes ;
- le transport d'une personne suspecte de fracture de la colonne vertébrale ;
- le passage dans les escaliers étroits ;
- le passage direct sans transfert de la victime, à la radiographie, car la planche est perméable aux rayons X:
Ces possibilités s'offrent planche à l’horizontale. Toute manœuvre exigeant une position verticale très inclinée n'est possible qu'avec, en complément, le brancard type "Marine".
Manœuvre :
- transport de la planche seule, possible par un sapeur ;
- chargement de la victime en bout : la victime étant soulevée, en bout, par trois ou quatre sapeurs, la planche
est glissée longitudinalement (latéralement : méthode "à la cuillère") ;
- immobilisation de la victime à l'aide des sangles, en prenant soin d'éviter :
. le glissement ;
. les compressions dangereuses, ou douloureuses ;
- déplacement avec une victime tête vers l'avant par quatre porteurs ;
. transport à bout de bras par les poignées ;
. transport à hauteur des épaules ;
. franchissement d'obstacles suivant la méthode enseignée en brancardage ;
- chargement dans le fourgon :
. 1 sapeur monte dans le fourgon et recule en portant l'extrémité de la planche,
. 2 se placent latéralement et font glisser la planche, le 3° sapeur soutenant l'autre extrémité,
. les porteurs montent ensuite dans le fourgon et la planche est déposée sur les genoux des sapeurs assis face
à face sur les banquettes.
- mise en place de la victime sur un chariot d'hôpital ou un lit,
. faire reposer un côté de la planche sur le chariot ou le bord du lit,
. les deux porteurs ainsi libérés se portent de l'autre côté du chariot ou du lit et tirent la couverture de façon
à faire glisser la victime en la remuant le moins possible.
Le personnel employé est celui du fourgon.
Entretien et vérifications :
Périodiquement :
- nettoyer la planche ;
- vérifier que les faces sont bien lisse ;
- vérifier l'état des sangles.
lundi 21 décembre 2015
Comité international de la croix rouge (C.I.C.R)
Organisation neutre et privé, dont tous les membres sont suisses, le C.I.C.R est chargé de veiller à l'application, par les États signataires, des Conventions de Genève dont il est le promoteur. En outre, il est particulièrement désigné, en raison même de sa neutralité, pour offrir ses services aux belligérants au bénéfice des victimes des conflits.
Le C.I.C.R agit tout d'abord en faveur des militaires blessés, malades et naufragés, des prisonniers de guerre aux mains de l'ennemi, dont il s'efforce, de la capture à la libération, d'améliorer les conditions de vie. Pour cela, il envoie à travers le monde des délégués qui visitent les lieux d'internement, de détention et de travail où se trouvent les captifs, qui s'enquièrent de leurs conditions de logement, de traitement, d'alimentation, et qui interviennent auprès de la puissance détentrice pour obtenir, le cas échéant, les améliorations nécessaires.
Le C.I.C.R agit également en faveur de la population civile se trouvant en territoire ennemi ou sous régime de l'occupation. Il intervient aussi lors des conflits (article 3 commun aux quatre Conventions de Genève de 1949).
Une autre activité importante du C.I.C.R consiste à rechercher les disparues et à transmettre les messages familiaux entre les personnes séparées par les événements.
Enfin, le C.I.C.R peut être appelé à apporter des secours à la population civile que la guerre à réduite à la famine. Étant bien souvent le seul à pouvoir franchir les barbelés, traverser les blocus ou circuler librement dans une zone occupée, le C.I.C.R achemine ainsi vivre, médicaments, vêtements.
samedi 19 décembre 2015
Les Extincteurs
A - GÉNÉRALITÉS
Les extincteurs sont des appareils étanches, qui permettent de projeter et de diriger un agent extincteur sous l'effet d'une pression intérieure celle-ci peut être assurée par :
- une compression préalable du produit ;
- la tension des vapeurs de l'agent extincteur lui-même ;
- la libération d'un gaz auxiliaire ;
- la manœuvre d'une pompe à main.
1 - Selon leur destination.
A cet effet, on a classé les différents types de feux en cinq catégories : quatre classés et une hors classification.
Classe "A" : "feux secs" intéressant les matériaux à base de cellulose (bois, papiers, cartons), ainsi que ceux à base de carbone et pour lesquels, l'eau est le meilleur agent d'extinction;
Classe "B" : "feux gras", feux d'hydrocarbures ou d'alcool, pour lesquels l'eau est, sauf dispositifs particuliers, généralement inefficace et parfois contre-indiquée.
Classe "C" "feux dits "de gaz", intéressant par exemple : méthane, propane, butane, gaz de ville.
Classe "D" "feu de métaux" (tels que sodium, magnésium, aluminium), qui nécessitent l'emploi de produits particuliers adaptés à chaque cas.
Feux hors classification : feux de caractère particulier, qui n'ont pu à ce jour, être répartis dans les classes bien définies : plastiques, celluloïd, carbure de calcium;
2 - Selon la nature de l'agent extincteur contenu.
- Extincteur à mousse.
- Extincteur à liquide ignifuge.
- Extincteur à eau (jet plein).
- Extincteur à eau pulvérisée.
- Extincteur à eau (jet plein) avec mouillant.
- Extincteur à eau pulvérisée avec mouillant.
- Extincteur à poudre.
- Extincteur à anhydride carbonique.
- Extincteur à hydrocarbures halogènes.
2. En fonction de leur masse.
Extincteurs portatifs : dont la masse en ordre de marche est inférieure à 16 kg : peuvent être pourvus d'un ajustage fixe ou d'une lance, fonctionnant soit droit, soit par renversement.
Extincteurs portables : dont la masse en ordre de marche est composée entre 16 et 26 kg. Fonctionnant sans renversement. L'ajustage est relié à l'appareil par un tuyau flexible : le jet peut être dirigé sans déplacement de l'appareil.
Extincteurs dorsaux : dont la masse en ordre de marche est inférieure à 30 kg. Pourvus d'un système d'attache permettant le transport à dos d'homme et d'un tuyau flexible avec ajustage pour diriger le jet.
Extincteur sur roues : tractables à bras ou remorquage, dont la charge peut être de plusieurs centaines de litres ou de kilogrammes.
Sur chaque appareils sont portés les renseignements permettant d'identifier l'agent extincteur et indiquant son mode d'emploi ; obligatoirement.au moins :
- nature et quantité du produit ;
- nature et quantité du gaz auxiliaire contenu dans la cartouche (pour les appareils en comportant) ;
- mode d'emploi, si possible accompagné de figure ;
- la ou les références du ou des foyers-types éteint (classe indiquée par sa lettre dans une étoile).
- les températures limites de conservation et d'efficacité ;
- les dangers d'emploi s'il en existe ; par exemple : "A ne pas utiliser sur courant électrique" "A ne pas utiliser
sur feux gras" "Aérer ou ventiler après usage" ;
- le nom et l'adresse du constructeur ou du propriétaire de la marque.
Les extincteurs sont revêtus en rouge, à l'exception des appareils d'un volume inférieur à 0,5 l qui peuvent être chromée.
Les lettres composant les diverses inscriptions décrites plus haut sont de couleur :
- blanche, si la nature de l'agent extincteur n'entraîne aucun danger particulier d'emploi ;
- jaune vif, dans le cas contraire.
- Les extincteurs doivent être placés de préférences à proximité des voies d'accès aux locaux (porte d'entrée), être facilement visibles et avoir leurs abords dégagés de tout matériel et marchandise. Il y a en outre avantage à les grouper par deux (défaillance possible de l'un d'eux).
Les extincteurs demandent une vérification et un entretien périodiques (selon indications fourniers par les constructeurs), faute de quoi ils constituent une sécurité trompeuse.
Les extincteurs fonctionnent soit par percussion, soit par renversement, soit encore au moyen d'une pompe. Il y a donc lieu d'en connaître le mode de fonctionnement avant de les mettre en action : lire avec soin la notice "mode d'emploi".
- Diriger le jet sur la base des flammes.
B - DIFFÉRENTS TYPES D'EXTINCTEURS.
1 - Les extincteurs à mousse.
Conviennent pour l'extinction des feux d'hydrocarbures (essence, mazout) et peuvent être utilisés dans la majorité des cas, sauf pour les "feux électriques";
La mousse est obtenue par la réaction chimique d'un acide A, ou d'un sulfate d'alumine jouant le rôle d'acide, sur une solution basique B de bicarbonate de sodium. Il se dégage du gaz carbonique, et un émulsif, tel que la saponine, le suc de réglisse forme avec le gaz une agglomération de fines bulles;
10 l de solution donnent 100 l de mousse qui agissent sur le foyer à la manière d'un cataplasme gorgé d'humidité et de couverture étouffante empêchant l'accès de l'air.
La mousse forme une couche protectrice qui adhère même aux parois verticales, se conserve plusieurs heures et s'oppose aux reprises de feu. Pour répandre la mousse sur une nappe de carburant en feu, déplacer le jet de droite à gauche en"fauchant " et en commençant par le bord le plus rapproché.
Portée du jet : 6 à 12 m.
2 - Les extincteurs à eau et à liquide ignifuge (bicarbonate, sulfate, silicate, chlorure).
Ils conviennent pour les feux secs de la classe "A".
Ils peuvent être remplacés avantageusement par les seaux-pompes, d'une grande capacité, d'un fonctionnement plus certain et peuvent être ré alimentés en cours d'emploi.
3 - Les extincteurs à eau pulvérisée (avec ou sans mouillant).
Ils sont efficaces sur les feux des classes "A et "B".
La vaporisation des gouttelettes d'eau pulvérisée est environ dix fois plus importante que celle de l'eau en jet plein. Il n'en résulte une action de refroidissement du foyer simplifiée et l'effet d'étouffement par la vapeur augmente considérablement. La portée des appareils est plus faible, mais l'opérateur est mieux protégé contre la chaleur rayonnante.
4 - Les extincteurs à poudre.
La poudre est en général un mélange de bicarbonate de soude ou de potasse de sels divers, de terre d'infusoires de sable fin.
Les extincteurs à poudre sont utilisés pour les feux sur les appareils et canalisations électriques, sur les hydrocarbures (essence), les gaz de pétrole ou de ville, et d'une manière générale pour les feux de matières ou objets que les liquides pourraient dégrader.
Certaines poudres ayant l'inconvénient de s'hydrater à la longue de se tasser également, ces appareils ne donnent des garanties de bon fonctionnement qu'autant qu'ils possèdent une soupape de sécurité et que la charge doit être vérifiée périodiquement.
En outre, les poudres sont de types divers, ne convenant pas indifféremment aux différents types de foyers. Il faut éviter de les mélanger lors de la recharge d'appareils.
Les poudres sont désignées par une (ou plusieurs) lettre (s) de l'alphabet correspondant aux lettres de classification des feux : exemple : poudre B.C. (ne convient pas pour les feux de classe "A", "B" et "C", mais n'est pas efficace sur les feux de classe "D";
5 - Les extincteurs à anhydride carbonique.
Ces appareils conviennent particulièrement pour les feux d'appareils électriques pour les feux d'hydrocarbures également. L'extincteur contient du gaz carbonique liquéfié qui, en se détendant , agit sur le foyer par soufflage, étouffement (gaz impropre à la combustion) et par refroidissement par (production de neige).
Le gaz ne détériore pas les objets qu'il atteint et à dose de 18% rend l'atmosphère inexplosible et même simplement in-comburante.
Portée : 2 m environ.
Il faut empêcher la formation d'un glaçon qui pourrait boucher l'orifice.
6 - Les extincteurs à hydrocarbures halogènes.
On appelle "hydrocarbure halogène" un hydrocarbure dans la molécule duquel les atomes d'hydrogène ont été remplacés, partiellement ou en totalité, par un nombre équivalent d'atomes d'halogènes : fluor, chlore, brome ou iode.
Ces extincteurs servent surtout à l'extinction des feux d'hydrocarbures, de voitures automobiles et d'appareils ou canalisations électriques. Ils peuvent convenir aussi à n'importe quels autres feux (avec toutefois une réserve quant sur feux hors classification).
Ces extincteurs servent surtout à l'extinction des feux d'hydrocarbures, ils dégagent des vapeurs lourdes, isolantes, qui arrêtent la combustion mais peuvent incommoder l'opérateur dans un local. Il faut donc les utiliser avec précaution en éviter l'emploi dans les locaux exigus et mal aérés (sous-sols, par exemples et toujours bien ventiler le local après usage.
Il faut, en outre, se méfier des risques de corrosion par produits de pyrolyse, de matériels délicats : électronique, mécanographie.
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