https://Momela-zazoumane.blogspots.com

Bienvenue au blog Momela-zazoumane

lundi 7 octobre 2013

Conduite D'engins Motorisés A Deux Roues




 Le moyen de transport que constitue la motocyclette, du fait de certains avantages par rapport à l'automobile (en particulier à son prix plus abordable), à toujours connu une grande faveur, surtout chez les jeunes qu'elle a constamment séduits par son aspect sportif (sensation plus grande de la vitesse, manœuvrabilité, accélération spectaculaires...).


 Aussi, ne faut-il pas s'estomper que la plupart des usagers tués sur la route sont des usagers de véhicules à deux roues. Ce type d'accident a fait l'objet d'une étude remarquable de goëler à laquelle nous nous referons plus loin. Si les accidents de motocyclette offrent bien des analogies avec les accidents d'automobile, il y a cependant de notables différences.

 C'est ainsi que si l'on recherche dans l'automobile une liaison toujours plus intime entre passagers et véhicule pour éviter l'éjection (ceintures de sécurité), il vaut mieux, bien souvent, pour le motocycliste "vider les étriers" et se séparer au plus tôt de cet engin.

a)  Mécanisme de l'Accident

On peut schématiquement le décomposer en trois phases :

1ère phase : Choc primaire contre l'obstacle

Au cours de ce premier choc, se produisent des fracas parfois considérables généralement sur les parties latérales du corps, qu'ils soient provoqués par des véhicules venant en sens inverse ou par ce qui peut se trouver en bordure de la route (poteaux, panneaux, parapets, etc). Ce sont les blessures primaires.

2° et 3° phase : Chocs secondaires.

Immédiatement après le choc primaire, dans la plupart des cas, le motocycliste se sépare de son engin, et, animé d'une vitesse égale à celle de sa machine au moment de l'impact, vitesse qu'il ne peut plus contrôler, continue sa route, tout seul, généralement la tête en avant.

Au terme de cette courbe aérienne, la victime va reprendre contact avec le sol. La nature de ce dernier, sa configuration au point de chute, l'angle d'incidence en fin de trajectoire, l'étendue plus ou moins grande du corps prenant contact avec le terrain, sont alors des éléments déterminants des nouvelles blessures qui vont se produire : ce sont les blessures secondaires. Ces conséquences seront très atténuées si le motocycliste atterrit sur le sol en glissant ou s'il peut pratiquer un "roulé-boulé" analogue a celui des parachutistes.
Au cours de cette trajectoire aérienne, plus ou moins tendue suivant la vitesse initiale, il peut heurter de nouveaux obstacles, fixes (dépendant de la configuration des lieux) ou mobiles (véhicules venant en sens inverse ou latéralement), ce qui entraîne d'autres blessures blessures post-primaires.

 b)  Mécanisme des blessures

Quelle que soit la phase où elles se produisent, ces blessures ont pour caractère commun d'être graves et même très graves. Elles consistent surtout en fractures multiples, très souvent ouvertes avec de fréquentes atteintes articulaires.

Suivant les circonstances de l'accident et le type de choc qui les ont provoquées, leur mécanisme varie.

Les lésions les plus fréquentes et les plus graves sont celles de la tête. Elles se produisent aussi bien lors du choc primaire que du choc secondaire. Dans le chapitre consacré à la prévention des accidents seront étudiés. Les effets du casque sur la protection du crâne.
Lors de la rencontre avec un véhicule venant en sens inverse ou avec les installations fixes du bord de route (poteaux, arbres, murs...), peuvent se produire des fractures de l'épaule, du bras, associées parfois a des blessures de la cage thoracique. Elles siègent généralement a gauche dans le premier cas, à droite dans le second.

Les blessures de la main proviennent souvent du choc contre un obstacle la main fermée sur la poignée.
De même, des fractures du poignet ont lieu lors des chutes sur le côté.
Les blessures de la voûte plantaire se produisent quand le pied est coincé entre le repose-pied et le sol.
La position du motocycliste explique aussi la fréquence des blessures du membre inférieur : fractures de la rotule, éclatement du genou (assez semblables à celles de l'automobiliste contre le tableau de bord), fracture de la cuisse.

Si la jambe reste coincée sous la moto qui l'entraîne avant de s'arrêter, on pourra observer des fractures étagées de tout le membre inférieur, le plus souvent ouvertes. Enfin, avant de se détacher complètement de sa machine, le motocycliste peut se blesser très gravement à l'abdomen en s'empalant sur le guidon. De même, les nerfs, l'épaule et le bras peuvent être sérieusement lésés du fait sur leur tiraillement excessif lorsque, les mains cramponnées au guidon, le corps, plus au moins tendu, pirouette brutalement autour des épaules.

mardi 1 octobre 2013

Comité International De La Croix Rouge (C.I.C.R.)

Organisation neutre et privé, dont tous les membres sont suisses, le C.I.C.R est chargé de veiller à l'application, par les États signataires, des Conventions de Genève dont il est le promoteur. En outre, il est particulièrement désigné, en raison même de sa neutralité, pour offrir ses services aux belligérants au bénéfice des victimes des conflits.



    Le C.I.C.R agit tout d'abord en faveur des militaires blessés, malades et naufragés, des  prisonniers de guerre aux mains de l'ennemi, dont il s'efforce, de la capture à la libération, d'améliorer les conditions de vie. Pour cela, il envoie à travers le monde des délégués qui visitent les lieux d'internement, de détention et de travail où se trouvent les captifs, qui s'enquièrent de leurs conditions de logement, de traitement, d'alimentation, et qui interviennent auprès de la puissance détentrice pour obtenir, le cas échéant, les améliorations nécessaires.



     Le C.I.C.R agit également en faveur de la  population civile se trouvant en territoire ennemi ou sous régime de l'occupation. Il intervient aussi lors des conflits (article 3 commun aux quatre Conventions de Genève de 1949).
Une autre activité importante du C.I.C.R consiste à rechercher les disparues et à transmettre les messages familiaux entre les personnes séparées par les événements.






     Enfin, le C.I.C.R peut être appelé à apporter des secours à la population civile que la guerre à réduite à la famine. Étant bien souvent le seul à pouvoir franchir les barbelés, traverser les blocus ou circuler librement dans une zone occupée, le C.I.C.R achemine ainsi vivre, médicaments, vêtements.




mardi 24 septembre 2013

Transport Des Matières Dangereuses


 Le transport de produits dangereux connait un développement important et représente un risque nouveau et insidieux, car ces produits sont en général peu connus des transporteurs et des éventuels sauveteurs. C'est pourquoi une réglementation était nécessaire pour définir la signalisation de ces transports et la conduite à tenir en cas d'incidents ou d'accidents.

Les véhicules transportant des matières dangereuses par la route, qu'il s'agisse de trafic national, en application du règlement approuvé par arrêté ministériel du 14 avril 1945 modifié, ou de trafic international en application de l'A.D.R. (Accord relatif au transport des matières dangereuses par route, en date du 30 septembre 1957) doivent faire l'objet d'une signalisation particulière, et le transport donne lieu à l'établissement, par l'expéditeur, de fiches de sécurité.

 Le transport de déchets radioactifs et les difficultés de déterminer leur lieu de stockage, a montré, à cet égard, une insuffisance de contrôles et, notamment, du contrôle douanier.


A - Signalisation des Véhicules.


Deux modes de signalisation des véhicules doivent être conjointement appliqués :


-  les panneaux de signalisation ;
-  les plaques étiquettes.


Les Panneaux de Signalisation.


Dispositions générales.


Les véhicules isolés ou les ensembles (constitués par un véhicule et une remorque) doivent être signalé par deux panneaux fixes ou amovibles de couleur orange rétro réfléchissante, ayant la forme d'un rectangle de
40 cm de base et 30 cm de hauteur minimum, bordé intérieurement d'un liseré noir de 1,5 cm de largeur.

Ces panneaux doivent être fixés sur la partie gauche, l'un à l'avant de l'unité de transport, l'autre à l'arrière. Ils doivent être bien visibles.


La pose de ses panneaux incombe au transporteur.


Après déchargement des matières dangereuses, et pour les citernes après nettoyage et dégazage, les panneaux doivent être enlevés ou masqués (on ne peut se contenter de les barrer par un dispositif de fortune).


Dispositions propres aux véhicules-citernes.


Pour les véhicules-citernes, les panneaux rectangulaires tels que décrits ci-dessus doivent en plus être séparés par une ligne noire de 1,5 cm de largeur les traversant à mi-hauteur.


Le transporteur doit apposer sur ces panneaux : dans la partie supérieure le numéro d'identification du danger, par exemple : 33 et, dans la partie inférieure, le numéro d'identification de la matière, par exemple : 1088 (seulement lorsque ces numéros existent).


Ces numéros sont ceux reproduit sur la fiche de sécurité, ils figurent à la nomenclature des marchandises dangereuses du règlement de 1945.


La signification des chiffres utilisés pour le numéro d'identification du danger est la suivante :


             O :  absence  de  danger  secondaire.
              1 :  matières explosibles.
              2 :  gaz.
              3 :  liquides inflammables.
              4 :  solides inflammables.
              5 :  comburants ou peroxydes.
              6 :  matières toxiques.
              7 :  matières radioactives.
              8 :  matières corrosives.
              9 : danger de réaction violente résultant de la décomposition spontanée ou de la polymérisation.


La signalisation de quelques unes des principales combinaisons susceptibles d'être utilisées est par exemple la suivante :


            20 :  gaz,   ni inflammables,  ni  toxiques, ni  corrosifs. 
            23 :  gaz inflammables.
            33 :  liquides très inflammables (point d'éclair à 21° C).
            60 :  matières  toxique.
            63 :  matières toxiques et inflammables.
            70 :  matières radioactives.


Le redoublement du premier chiffre indique une intensification du danger principal.
Ces numéros sont constitués de chiffres de couleur noire de 10 cm de hauteur et 1,5 cm de largeur de trait.


La lettre  X, de même dimension et couleur que les chiffres placée devant un numéro d'identification de danger signifie l'interdiction d'utiliser l'eau sur un épandage de produit liquide.


Les Plaquettes Étiquettes


Les unités de transport doivent en second lieu être signalées par une plaque, fixe ou amovible, peinte ou émaillée, ou par une étiquette adhésive ayant la forme d'un carré de 30 cm de côté (sauf pour les matières radioactives où cette dimension est réduite à 15 cm) posé sur la pointe, fixée d'une part à l'arrière, d'autre part sur les deux côtés du véhicule, à des emplacements libres sous réserve que ces plaques ou étiquettes soient bien visibles.


Elles reproduisent le symbole, également utilisé pour les étiquettes des colis, correspondant au danger prépondérant de la matière transportée.


La couleur des symboles varie de la manière suivante :


- dangers majeurs (explosion, feu, émanations ou matières toxiques, nocives ou corrosives) ; symbole noir ;
- danger d'incendie au contact de l'eau : symbole blanc sur fond bleu ;
- danger radioactif : plaque particulière.

Le numéro de la plaque étiquette à utiliser en fonction du danger prépondérant figure également à la nomenclature des matières dangereuses du règlement de 1945.


Fiches ou  Consignes  De  Sécurité.

Le transport des liquides, des gaz comprimés, liquéfiés ou dissous et des matières solides, transportées à l'état fondu donne lieu à l'établissement, par l'expéditeur, pour chaque matière ou groupe de matières de fiches de sécurité.

Ces fiches précisent :

- la nature du ou des dangers présentés par la matière ainsi que les mesures à prendre pour y                   faire en cas d'accident ou d'incident.
- les dispositions particulières à prendre et les soins à donner aux personnes qui éventuellement  seraient en contact avec la matière ou les émanations qui pourraient se dégager.
- les mesures à prendre en cas d'épandage dans l'eau ou sur le sol en cas de diffusion de                          la matière ou les émanations qui pourraient se dégager.

                    

   Les fiches de sécurité sont affectées de deux deux numéros de code - ceux à apposer sur les              
   panneaux de signalisation - l'un pour l'identification du ou des dangers présentés par                            la matière, l'autre pour l'identification de la matière elle-même.        
      
   
    Les numéros de code des matières, et s'il y a lieu l'interdiction de l'emploi de l'eau                      d'extinction, sont confirmés par l'expéditeur au transporteur lors du chargement.

    Mais ces informations indispensables doivent être données au transporteur antérieurement                   au chargement, en principe au moment du passage de l'ordre de transport.

     Le transporteur appose les numéros de code et éventuellement la lettre X, selon les modalités              précitées, sur les panneaux rectangulaires de couleur orange.

     L'expéditeur remet un exemplaire de chaque fiche de sécurité au transporteur qui la fait afficher          dans la cabine du véhicule où elle doit rester pendant toute la durée du transport.

     Le transporteur prend toutes dispositions nécessaires pour que le personnel chargé de la                  
     la conduite du véhicule prenne connaissance des recommandations figurant sur la fiche et                    soit en mesure de les appliquer correctement.

      Les sapeurs-pompiers, et d'une manière plus générale les organismes susceptibles de participer au       secours routier, doivent disposer de ces fiches de sécurité.         
              
                                       
-         
  

dimanche 1 septembre 2013

Coup De Chaleur

Le "coup de chaleur" peut résulter d'une longue exposition à une chaleur excessive : soleil (l'insolation), pièce surchauffée, bébé laissé dans une voiture au soleil, etc.



Les signes de l'insolation sont les suivants :


-  le sujet a le visage congestionné ;
-  il se plaint de maux de tête, d'une sensation de fatigue ;
-  il a des éblouissements des vertiges ;
-  il a des nausées suivies de vomissements ;
-  il a parfois des crampes ;
-  plus tard, il va perdre connaissance et à un degré de plus tomber dans le coma avec une fièvre très élevée.


         Mais n'oubliez pas qu'un coup de chaleur peut fort bien intervenir en dehors de toute exposition au soleil.


          L'évolution est variable suivant l'intensité de la chaleur, la durée d'exposition, l'âge du sujet (les enfants et les gens âgés sont plus sensibles). Mais dans tous les cas une évolution est à craindre vers le coma. Les troubles circulatoires, la déshydratation (surtout grave chez le nourrisson et le jeune enfant).




La conduite à tenir est la suivante :


-  alerter un médecin ou les secours organisés ;
- action de certains végétaux (cérébrales, fourrages, épinards ;
  betteraves, lin, chanvre, jute, chêne, hêtre, frêne, crène, lilas tulipes, artichauts, céleri, ricin...) ;
- action de certains produits d'animaux (poils, plumes, laines...) ;
- petites infections de la peau dues à des germes, des parasites, ou des champignons microscopiques.
  

vendredi 9 août 2013

Prévention des Accidents Domestiques Chez L'Enfant


Les risques varient avec l'âge

a)  Jusqu'à 1 An.

          Si les accidents n'occupent pas la première place, c'est l'âge où se produisent le plus grand nombre de morts accidentelles. Le bébé risque surtout l'asphyxie et les chutes, mais aussi le coup de chaleur, les brûlures, les intoxications, les accidents de la route.

       Attention à ce qu'il ne soit pas étouffé dans ses couvertures, sous un oreiller (l'utilisation de couvertures attachées ou d'oreillers dans la literie d'un berceau est formellement déconseillée), par la faute du chat de la maison qui vient se coucher sur lui, avec tout ce qu'il peut porter à la bouche (épingles, broches...).

- Ne le laissez pas seul sur sa chaise haute ou sur une table à langer pendant que vous le changez et, mieux encore, dans ce dernier cas, tenez-le toujours bien.

b)  De 1 à 4 Ans.

        C'est pendant cette période que les accidents sont les plus fréquents.

      Ils se produisent le plus souvent dans la maison et autour d'elle.

          Les lieux les plus dangereux de la maison sont d'abord la cuisine, puis la chambre et la salle de bains.

          Les risques encourus sont les chutes, les brûlures, les empoisonnements accidentels, la submersion.

.L'eau attire l'enfant et il lui en faut peu pour se noyer, une bassine parfois ; ne laissez jamais un enfant seul près de l'eau.:
. mettez les allumettes hors de sa portée ;
. tournez les queues des casseroles sur le fourneau vers le mur ;
. ne posez jamais de récipient d'eau chaude sur le sol ;
. fermez bien la porte donnant sur la rue : il ne s'y élancera pas en courant au risque de se faire écraser ;
. faites garnir les prises électriques avec des bouchons protecteurs : il ne risquera pas d'y mettre ses doigts ou d'y introduire un objet métallique ;
. dès qu'il commence à se déplacer seul, mettez hors de sa portée tous les petits objets qu'il peut saisir : boutons, agrafes, trombones, billes, cacahuètes et autres petits fruits secs, etc., qu'il risque d'introduire dans sa bouche, dans une narine, dans l'oreille. Souvenez-vous qu'au ras du sol, sous un meuble, il aura vite fait d'apercevoir et d'attraper l'objet oublié ou que le balai n'aura pas atteint ;
. mettez un grillage aux fenêtres, une barrière aux escaliers ;
. dehors, tenez-le fermement à la main ou mettez-lui un petit harnais ;
. rangez soigneusement et hors de portée de sa main, les objets tranchants ou coupants, les produits dangereux; médicaments, insecticides, produits d'entretien que vous garderez toujours dans leur conditionnement d'origine, sans les transvaser dans un autre contenant et prenez l'habitude d'éloigner l'enfant quand vous les utilisez (mettez-le dans son lit ou dans son parc...).
. fermez à clé votre boîte à outils.

c)  De 5 à 14 Ans

     Les accidents se produisent hors de la maison et plus particulièrement dans la rue. Les plus fréquents sont les accidents de la route et la noyade.
        - Apprenez-lui les règles essentielles de la circulation car avant 10 ans, en effet, un enfant a du mal à les assimiler.:
        - S'il a une bicyclette, enseignez-lui les éléments indispensables du Code de la route.
         - Apprenez-lui à nager le plus tôt possible.
         - Procurez-lui les équipements conformes à l'activité de loisirs qu'il pratique.
         - Interdisez-lui de parler à des inconnus.
  

jeudi 8 août 2013

Comité International de la Croix Rouge (C.I.C.R)





Organisation neutre et privé, dont tous les membres sont suisses, le C.I.C.R est chargé de veiller à l'application, par les États signataires, des Conventions de Genève dont il est le promoteur. En outre, il est particulièrement désigné, en raison même de sa neutralité, pour offrir ses services aux belligérants au bénéfice des victimes des conflits.




    Le C.I.C.R agit tout d'abord en faveur des militaires blessés, malades et naufragés, des  prisonniers de guerre aux mains de l'ennemi, dont il s'efforce, de la capture à la libération, d'améliorer les conditions de vie. Pour cela, il envoie à travers le monde des délégués qui visitent les lieux d'internement, de détention et de travail où se trouvent les captifs, qui s'enquièrent de leurs conditions de logement, de traitement, d'alimentation, et qui interviennent auprès de la puissance détentrice pour obtenir, le cas échéant, les améliorations nécessaires.


     Le C.I.C.R agit également en faveur de la  population civile se trouvant en territoire ennemi ou sous régime de l'occupation. Il intervient aussi lors des conflits (article 3 commun aux quatre Conventions de Genève de 1949).
Une autre activité importante du C.I.C.R consiste à rechercher les disparues et à transmettre les messages familiaux entre les personnes séparées par les événements.


     Enfin, le C.I.C.R peut être appelé à apporter des secours à la population civile que la guerre à réduite à la famine. Étant bien souvent le seul à pouvoir franchir les barbelés, traverser les blocus ou circuler librement dans une zone occupée, le C.I.C.R achemine ainsi vivre, médicaments, vêtements.