Les sauveteurs, les policiers, les pompiers, les secouristes, les
collaborateurs du Mouvement international de la Croix Rouge et du
Croissant Rouge et les volontaires de l'action humanitaire endurent, du
fait de leur travail en situation d'urgence et de catastrophe, des
réactions émotionnelles intenses.
On les appelle réactions de surcharge psychique ou réactions de stress.
Les délégués du CI..C.R et les volontaires de l'action humanitaire qui s'engagent dans des zones de guerre et de conflit, subissent des traumatismes de plus en plus violents, plus proches des combats qu'auparavant, davantage mêlés à des populations civiles toujours plus menacées, ils côtoient aujourd'hui des combattants indisciplinés, au comportement imprévisible, qui ne les respectent plus.
Au retour, ces réactions de stress et ces traumatismes troublent non seulement la personne rescapée, mais aussi sa famille, ses amis, les responsables opérationnels et le corps médical.
Afin d'être mieux maîtrisées et, le cas échéant, prises en charge, ces réactions doivent être connues de chacun et de chacune.
On distingue deux réactions de stress qui s'enchaînent d'une manière imperceptible, d'abord utile et protectrice, puis inutile et destructive pour l'organisme :
. le stress protecteur qui permet de faire face aux conditions extraordinaires d'une mission éprouvante,
tout en restant efficace ;
. le stress dépassé, qui conduit bientôt à l'épuisement et à la chute des performances.
Les collaborateurs et les collaboratrice du CI.C.R n'échappent pas à ces réactions. Leurs familles non plus, "contaminées par les émotions de leurs proches et traumatisées avec eux.
On les appelle réactions de surcharge psychique ou réactions de stress.
Les délégués du CI..C.R et les volontaires de l'action humanitaire qui s'engagent dans des zones de guerre et de conflit, subissent des traumatismes de plus en plus violents, plus proches des combats qu'auparavant, davantage mêlés à des populations civiles toujours plus menacées, ils côtoient aujourd'hui des combattants indisciplinés, au comportement imprévisible, qui ne les respectent plus.
Au retour, ces réactions de stress et ces traumatismes troublent non seulement la personne rescapée, mais aussi sa famille, ses amis, les responsables opérationnels et le corps médical.
Afin d'être mieux maîtrisées et, le cas échéant, prises en charge, ces réactions doivent être connues de chacun et de chacune.
On distingue deux réactions de stress qui s'enchaînent d'une manière imperceptible, d'abord utile et protectrice, puis inutile et destructive pour l'organisme :
. le stress protecteur qui permet de faire face aux conditions extraordinaires d'une mission éprouvante,
tout en restant efficace ;
. le stress dépassé, qui conduit bientôt à l'épuisement et à la chute des performances.
Les collaborateurs et les collaboratrice du CI.C.R n'échappent pas à ces réactions. Leurs familles non plus, "contaminées par les émotions de leurs proches et traumatisées avec eux.
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